jeudi, octobre 21, 2004

...

Le désir de ma conscience
n'affectera pas le monde intérieur
réel monstre marin du lac
profond, noir tel tes yeux

Esprit spiridualitaire
Chambre de fumée
Fumoir chimérique
Éther irréel qui vogue
durant que je dors ma vie.

noir sur blanc, sur gris
sur soir lent, heure
ici gît mon coeur
ici meurt mon coeur
comme l'oeil que
je porte sur ton corps
désaffecté...

1 commentaire:

Anonyme a dit...

J'ai beau lire et relire, je me demande encore cque tu as bien voulu dire ici...